mardi 22 décembre 2009
Fight against cold
vendredi 18 décembre 2009
L'hiver est là!
lundi 7 décembre 2009
Ces petites différences...qui font la différence
Nous entamons aujourd'hui une nouvelle série d'articles consacrés aux différences entre le Québec et la France.
On ne dit pas "salut" mais "allô", et on peut dire qu'au début c'est bizarre : arriver dans un magasin et entendre la vendeuse dire "allô", vous imaginez ? On se demande au début : "euh...elle s'adresse à moi ou elle a une oreillette?"
samedi 5 décembre 2009
Tourisme à Montréal
Aujourd'hui nouvel article livré par un nouveau Special Guest, NicoT, qui nous a fait le plaisir de venir nous voir depuis la Bretagne
Se repérer à Montréal
Avant toute chose, lorsque l’on arrive dans une ville, il faut savoir se repérer et ce n’est pas toujours chose aisée.
L'organisation routière de la ville de Montréal est bien différente de celle des villes européennes.
On pourrait même dire déroutante lorsqu'en bon français on pense que « notre » organisation est la meilleure. Essayons de faire simple à la manière de Fred et Jamy (mais sans le camion car ce n’est pas commode de transporter un 38 tonnes dans la carlingue d'un avion).
Montréal est construite comme une ville d'Amérique du nord, c'est à dire sur un quadrillage. Une fois les rues et les avenues principales connues (vous munir d'un plan quand même on n'est pas à Kerfourn*) il est plus aisé de se diriger dans la direction désirée.
Corsons le problème avec les nombreuses rues à sens unique.
Donc si tu rates la rue que tu veux prendre, il te faudra faire une rallonge considérable dans des rues qui sont pratiquement semblables. Je n'ose même pas évoquer ici les feux de signalisation, les « lumières », qui se trouvent de l'autre côté du carrefour. Imaginez Marcel qui débarque à Montréal, qui loue un 4x4 GMC à boite automatique, et qui s'arrête juste à la lumière ??? Au mieux, il se retrouve au milieu du carrefour et bloque toute la circulation. Au pire... je vous laisse imaginer.
Revenons à nos moutons. Euh... revenons à nos caribous. (Je régionalise une expression. J’ai le droit non ???)
Si le touriste lambda cherche un numéro, le 120 rue Sherbrooke par exemple, la précision « Est » ou « Ouest » est indispensable. Cette direction prend pour référentiel l'Avenue Saint Laurent.
Cette artère commerciale rectiligne de onze kilomètres coupe l’ile de Montréal en deux, du fleuve Saint Laurent à la rivière des Prairies. L'organisation urbaine étant quadriennale, cette voie sert également de référence pour la numérotation des rues parallèles au boulevard.
Mes talents d'artiste me permettent de vous proposer ce sublime schéma afin de vous faire visualiser la chose
Reprenons notre exemple. Imaginons que ce soit le 120 rue Sherbrooke Est. Il faut donc trouver l'intersection entre le boulevard Saint Laurent et la rue Sherbrooke, puis remonter vers l'Est jusqu'au numéro 120. Et voilà, vous êtes arrivés.
Ouf j'en suis venue à bout de mon explication. Non sans mal !!!
*Kerfourn : Petit village Français localisé en Bretagne, comptant 743 âmes se partageant 1 199 ha de territoire. L'organisation du bourg est simple. Deux rues : la rue du centre qui est coupée par la rue de l'église. (Pas besoin de plan ni de longues explications !!!)
NicoT
mardi 1 décembre 2009
TIPS ou le casse-tête de tout nouvel arrivant
mardi 24 novembre 2009
Les hommes qui regardent les chèvres
jeudi 19 novembre 2009
Le foot à Montréal
jeudi 12 novembre 2009
Café Campus
samedi 7 novembre 2009
L'automne est là !
Mais l'arrivée de l'hiver n'a pas que des inconvénients : au détour d'une balade au Parc Lafontaine à proximité de notre appartement, on a appécié ça :
C'est aussi ça l'automne...mais une chose est sûre, lorsque les arbres auront perdu toutes leurs feuilles cela voudra dire que les choses sérieuses vont commencer (températures en dessous de 0, tempêtes de neige et tout ce qui fait rêver) et là on fera sacrément moins les malins !
mercredi 4 novembre 2009
Halloween
Samedi le soleil était aux abonnés absents toute la journée.
On a bien essayé de le joindre par tous les moyens mais impossible, un problème de batterie sans doute.
Résultat, les festivités d'Halloween étaient un peu tristounettes, on a été un peu déçus de ne pas voir défiler des centaines (milliers?!) d'enfants à notre porte pour le traditionnel "Trick or Treat".
En même temps on avait pas de bonbons à leur offrir mais une bonne part de Kouign Amann aurait fait l'affaire.
En tout cas, les montréalais profitent vraiment de ce moment pour faire la fête et se déguiser. Les rues étaient d'ailleurs peuplées de personnages et il ne fallait pas s'étonner d'être assis dans le bus à côté de l'incroyable Hulk ou de croiser une araignée géante au détour d'une station de métro (OUI, il est possible d'avoir peur d'une personne déguisée en araignée...).
Promis, l'an prochain on fait la totale : On se déguise, on se ravitaille en bonbons et on met des citrouilles devant la porte... Ou pas.
samedi 31 octobre 2009
Club Opéra
Ce club assez sélect est situé tout près du métro Saint-Laurent (ligne verte) dans un quartier très animé où les clubs et les bars ne manquent pas.
Il faudra s'y habituer mais l'attente est, ici aussi assez longue, en plus vous vous ferez fouiller à l'entrée, ce qui n'accélère pas les choses.
L'endroit en lui-même est assez vaste bien que composé d'une seule salle, avec sur les côtés, des balcons pour les carrés VIP.
C'est un peu le cliché du club à l'américaine, les gens que vous y croiserez ont tous une apparence très soignée, les tenues sont légères et le contact est, pour ainsi dire, facile.
La musique est excellente, le seul bémol est qu'ils n'hésitent pas à remplir la boîte au maximum, ce qui ne laisse que peu de place, que ce soit sur la piste ou à côté, mais si vous vous y rendez un vendredi soir vous ne rencontrerez pas ce genre de problème.
Note : 7/10
tenue correcte indispensable
Possibilité de s'inscrire sur une guest list sur le site web afin de rentrer gratuitement (valable avant minuit)
Vestiaire : 2 $ / article
Club Opéra (32 Sainte-Catherine Ouest)
www.clubopera.ca
Sawyer
jeudi 29 octobre 2009
Un honnête citoyen
Critique ciné :
Après " Capitalism, a love story", on a cherché un film plus léger : Un honnête citoyen avec Jamie Foxx.
On cherchait de la distraction avec un bon gros film à l' Américaine, les gentils contre les méchants, plein de sang et de bastons, on l'a trouvé! Mais il y a aussi un côté assez surprenant pour ce film : beaucoup de suspense, de tension voire, et oui, de subtilité.
Imaginez que votre voisin ou votre collègue de bureau devienne subitement un criminel...
C'est le scénario de ce thriller psychologique : un père de famille tout à fait ordinaire voit sa vie basculer après l'assassinat de sa femme et sa fille sous ses yeux.
Dix ans plus tard il décide de faire justice lui-même, considérant que les peines infligées aux personnes responsables étaient dérisoires compte tenu de l'atrocité du crime.
Cet homme jusqu'ici bien sous tout rapport se transforme alors en prédateur machiavélique, véritable "génie du crime" assoiffé par le désir de vengeance. La détresse causée par la perte des deux personnes qui lui sont le plus cher l'entraînera dans un engrenage meurtrier alors qu'il n'était à l'origine qu'un citoyen lambda...un honnête citoyen.
Très bon film, qui rejoint le show à l'américaine et le drame intellecuellement plus stimulant !
lundi 26 octobre 2009
Jardin botanique de Montréal
samedi 24 octobre 2009
Altitude 737
Situé à 5 minutes du métro McGill (ligne verte) ou du métro Square Victoria (ligne orange), le 737 se trouve en plein cœur de Montreal au 47e d’un des immeubles les plus hauts de la ville.
Il est notamment connu pour sa terrasse qui offre un panorama unique sur l’ensemble de la métropole, à elle seule elle vaut le détour. Le club se divise sur 3 étages, dont un fait office de restaurant et les deux autres sont dédiés à une ambiance club.
La première recommandation est de ne pas arriver trop tard, cet endroit étant très prisé, l’attente peut être assez, voire très longue. On entre par le hall qui, de par son espace et son standing donne un avant-goût de ce que vous trouverez en haut de la tour où vous accédez bien sûr par ascenseur.
La musique y est très variée au premier, comme au second étage (house, hip hop, rnb) et la piste laisse assez de place pour s’exprimer car il est fait en sorte que le club ne soit surchargé. Vous pourrez aussi accéder à la fameuse terrasse au dernier étage qui laisse autant d’espace que l’intérieur.
L’ambiance générale y est très bonne, la clientèle est assez huppée mais les gens restent très accessibles et ouverts d’esprit à l’image des québécois. Le club dans son ensemble est vraiment beau et très bien agencé, n’hésitez vraiment pas à y aller, paraît vraiment difficile de ne pas y passer une bonne soirée.
Note : 9/10
Tenue correcte exigée pour hommes comme pour femmes (bien que pour femmes, je traduirais plus tenue correcte par tenue sexy étant donné qu’ici, malgré la température, la tendance est à la « légèreté vestimentaire ».
Prix d’entrée : 15$
Possibilité de s’inscrire sur une guest list sur le site web, afin de rentrer gratuitement.
Vestiaire : 2$/article
Altitude 737 (200-1 Place Ville Marie
Sawyer
vendredi 23 octobre 2009
Bagel etc...
mercredi 21 octobre 2009
Capitalism : A love story
Après quelques années d’absence des écrans, Michael Moore nous revient avec son dernier documentaire, tout aussi polémique qu’à son habitude, « Capitalism… A Love Story », et qui comme son nom semble l’indiquer traite de l’impact du capitalisme sur la société américaine. On retrouve principalement comme thème la crise des subprimes et les conséquences qui en ont découlé. Comme à son habitude, il se livre à un choc des extrêmes à coup de chiffres mirobolants afin de diaboliser les hautes sphères tout en réduisant à l’état de martyr la classe moyenne américaine.
Ce paradoxe est mis en valeur par le profit qu’ont pu en tirer certaines banques et gros investisseurs face à la misère de la population expulsée de leur propres maisons presque manu militari (un bon ami à moi) et contre des sommes dérisoires.
Toutefois, bien que touchant par certains aspects et toujours aussi stimulant pour l’intellect, ce documentaire pourrait être celui de trop, penchant beaucoup vers un documentaire mélo dramatique plutôt qu’informatif, avec des larmes, des larmes et encore des larmes (à en noyer des poissons), certes la situation actuelle, pour beaucoup, est à des lieues d’être, ne serait-ce qu’acceptable, mais la pertinence n’est pas au rendez-vous comme elle a pu l’être pour « Bowling for Columbine ». Malgré tout, le documentaire reste émouvant car à force de voir la misère à tous les coins de rue, plus personne ne la dénonce. Sa volonté et ses actions demeurent donc à saluer.
Sawyer